Rechercher dans ce blog

dimanche 30 janvier 2011

La production des 2 marques commencera début 2012

La production des deux premiers modèles de l'usine de Tanger commencera début 2012, avec une ligne de 30 véhicules/heure et une capacité de 170.000 véhicules par an, a annoncé lundi le P.-D.G. de Renault.
S'exprimant lors d'une conférence de presse à Rabat, Carlos Ghosn a confirmé l'investissement capacitaire de 600 millions d'euros pour l'usine de Tanger, qui devrait connaître une extension, 2 ans plus tard, avec une capacité à terme de 400.000 unités/an.

"Le projet Tanger avance comme prévu, les travaux de terrassement commencés à l'automne 2008 sont achevés aux 2/3, la construction à proprement parler débutera à partir de septembre 2009 (usine et centre de formation)",a-t-il souligné.
Il a d'autre part affirmé que "Nissan se retire temporairement mais reviendra à Tanger dès que la situation se redressera". L'Alliance Renault-Nissan "vise une présence forte dans les pays émergents, Brésil Russie, Inde et Chine, Pays du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord".

Renault, a-t-il expliqué, "entend consolider sa position dans des pays historiquement forts comme le Maroc, la Turquie et la Roumanie".
Au Maroc, l'usine Somaca à Casablanca assemble Kango, Logan et Sandero (lancée, il y a 15 jours). Les deux marques du groupe Renault et Dacia sont leaders du marché et occupent respectivement les 1re et 2e places, a-t-il ajouté.

Pas d'importations des pays BRIC pour 2011

La demande est là, mais les importateurs de véhicules BRIC sont actuellement dans l'expectative. Les importations reculent. Quelles en sont les raisons et pour quel enjeu ?                                                                                        
«Suite aux problèmes d'homologation et au frein mis par le ministère de tutelle à l'importation des véhicules des pays BRIC, aucune nouvelle marque ne sera importée en 2011. Et cela se fera aux dépens du consommateur marocain ». C'est Chakib Ben El Khadir, délégué général de l'Union pour la promotion du secteur automobile au Maroc (UPSAM) qui l'affirme. Pas de nouvelles marques de voiture donc pour le Maroc en provenance des pays BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine) pour l'année prochaine. Une situation dont se défend le Centre national d'essais et d'homologation (Cneh) : « lors de l'homologation d'un type de voiture, les seules exigences sont d'ordre technique. Le véhicule doit répondre à un ensemble de normes techniques de sécurité, de (dé)pollution et autres.
L'origine du véhicule n'a aucun impact sur la décision d'homologuer ou non le type ». Faut-il comprendre par là que la plupart des marques provenant des pays BRIC ne répondent pas à ces normes ou tout simplement que le Centre reçoit des dossiers incomplets comme cela a été avancé il y a déjà un an ? En somme, ce qui devait être une procédure claire et simple reprend l'allure d'un bras de fer entre le Centre d'homologation et une partie de ses " clients ". La situation s'enlise et la solution n'est pas pour demain. Pour preuve, « jusqu'à une date récente, le Maroc importait une trentaine de marques des pays BRIC. Suite aux différents problèmes d'homologation qu'ont connus les membres de l'Upsam, ce nombre est aujourd'hui proche de 8 », s'emporte Ben El Khadir. Selon ce dernier, la part de marché que s'octroient les voitures issues des pays BRIC est passée de 2 % ces deux dernières années à moins de 0,5 % actuellement.
Par ailleurs, l'autre bâton mis dans les roues de l'Upsam et du Groupement des importateurs de véhicules pour l'équité tarifaire (Givet) est celui de la tarification douanière. Dans ce domaine et suite à la signature des accords de libre-échange entre le Maroc et l'UE, persiste une différence notoire entre le taux applicable aux importations de voitures en provenance d'Europe et celui de véhicules originaires des autres pays en général et des BRIC en particulier. Le processus de démantèlement douanier concernant les voitures de l'UE a fait que ce taux est passé de 32,5% en 2002 à 9,7% en 2009 pour tomber à 0% en 2012 pour les européennes.
 Par contre, ce taux est toujours de 27,5 % en 2010 pour les modèles non-européens, ce qui pénalise les importateurs de ce type de voiture, est-il souligné. Il est donc clair que tous les acteurs de la distribution automobile qui ont choisi d'importer des pays non signataires des accords de libre-échange devront revoir leur stratégie et leur positionnement pour continuer à faire du business.

Traque aux motos clandestines!


· Trafic sur les puissances fiscales

· Objectif: échapper à l'obligation du permis de conduire et à l'immatriculation

Des milliers de motos, triporteurs et autres scooters circulent illégalement. En effet, bien que dotés d'une cylindrée supérieure à 50 cm3, ils échappent aux formalités de l'homologation, de l'immatriculation et de l'obtention du permis de conduire.
«Les importateurs les déclarent à la douane avec une cylindrée conforme à la réalité, mais à la vente, ils délivrent aux clients des documents falsifiés pour les dispenser de la formalité de l'immatriculation et de l'obligation de détenir un permis», explique Abdelaziz Ezzaïm, directeur du Centre national des essais et d'homologation (CNEH). Conséquence, ces véhicules contribuent à l'aggravation des dangers de la circulation routière et donc de la sinistralité en raison de leur puissante motorisation. D'autant plus que ces véhicules subissent parfois de profondes modifications. Lorsqu'ils sont utilisés par les réseaux de criminalité, il est difficile de les identifier.
C'est pourquoi le ministère du Transport veut mettre de l'ordre. Le code de la route, qui entrera en vigueur dès le 1er octobre, comporte justement des dispositions rendant obligatoires l'homologation et l'immatriculation de tous types de vélos et de motos, même celles dont la cylindrée est inférieure à 50 cm3. En pratique, selon le patron du CNEH, les bicyclettes seront soumises à l'obligation d'homologation et seront équipées d'une plaque d'identification en aluminium.
Une formalité qui était appliquée par le passé, mais négligée depuis que les bicyclettes sont massivement importées de Chine. Pour ce qui est des motos et des triporteurs, leurs propriétaires devront accomplir les formalités prévues par la loi. En clair, ils devront aussi procéder à l'immatriculation de leurs véhicules auprès des services des mines. Du coup, la carte grise sera exigée comme pour les camions, bus et autocars. Autre démarche à accomplir, le redressement du contrat d'assurance en fonction de la cylindrée réelle. Celui-ci se fera sur la base de la nomenclature définie par la Fédération marocaine des sociétés d'assurances et de réassurances. Enfin, dernière démarche et non des moindres, les conducteurs seront obligés de passer le permis de conduire afin de pouvoir circuler avec leurs véhicules dotés d'une cylindrée de 50 cm3 et plus. Ces usagers de la route sont déjà en infraction par rapport à la législation sur la circulation routière de 1953. «Mais le nouveau code de la route traite ce problème de manière structurelle et fixe la date du 1er octobre pour régulariser la situation de tous les véhicules circulant sur la voie publique, y compris les tracteurs, les moissonneuses-batteuses et tout autre véhicule agricole ou industriel».
Le CNEH pourra-t-il éponger un passif estimé à plusieurs centaines de milliers de véhicules? L'option d'externalisation n'est pas à écarter.
Des opérations coup de poing ont déjà été organisées il y a quelques jours, avec saisie de motos et triporteurs en attendant leur régularisation. Des actions de communication sont également prévues pour sensibiliser les usagers. «Les textes d'application du code de la route fixeront un calendrier précis pour la régularisation des situations en infraction», précise Ezzaïm.
Situation cocasse, le gouvernement a fourni des triporteurs aux bénéficiaires de l'INDH, mais curieusement, ces derniers se retrouvent dans le lot taxé d'illégal! Aucune dérogation n'est prévue pour ce type de véhicules. Lesquels seront eux aussi soumis à la nouvelle réglementation.
------------------------------------------------------------------------

Formation des contrôleurs


Afin de conférer aux policiers, aux gendarmes et aux douaniers les compétences nécessaires pour veiller à l'application de la loi, notamment le contrôle et la détermination des caractéristiques techniques réelles des véhicules circulants, le CNEH a organisé une série de formations de formateurs de l'ensemble des régions. Des formations qui seront ensuite dispensées aux agents de contrôle des corps concernés. De plus, des commissions régionales ont été constituées. Composées de responsables de la DGSN, de la Douane et de la Gendarmerie, celles-ci sont pilotées par les walis et gouverneurs et ont pour objectif de veiller à l'application de la procédure en matière d'homologation et d'immatriculation.

Un nouveau réseau de centres de visites techniques automobiles est constitué


Un nouveau réseau de centres de visites techniques automobiles vient d’être constitué. Dénommée «Salam Réseau Maroc», cette enseigne opérera aux côtés de Dekra et SGS. Son dossier a été agréé en octobre par le ministère du transport et de l’équipement selon les dispositions du cahier des charges établi en 2006 pour mettre à niveau cette activité.
En fait, Salam Réseau Maroc n’a pas été créé à partir de rien. La quarantaine de centres qui le constituent ont en effet quitté le giron des deux grands réseaux qu’ils avaient ralliés, il y a deux ans, et avec lesquels ils étaient liés par un contrat d’une durée de deux ans. Au départ, ils étaient 107 centres à avoir rejoint Dekra et 70 SGS ; moins d’une dizaine étaient restés indépendants et travaillaient sous le contrôle du Centre national d’essai et d’homologation (CNEH).
Les deux opérateurs, qui ont permis à tous ces centres d’adopter des méthodes de travail rigoureuses permettant de crédibiliser le document de visite technique, voient aujourd’hui d’un mauvais œil la constitution de ce nouveau réseau qui devrait se traduire par une baisse de leur chiffre d’affaires en termes de redevances perçues.

Un seul fournisseur pour les imprimés
Le mérite ne revient pas seulement à ces deux grandes enseignes, souligne un membre du nouveau réseau pour qui la mise à niveau des centres de visites techniques a réussi grâce à la campagne de contrôle et d’assainissement entreprise par le ministère du transport à partir de 2006, notamment à travers l’instauration de nouvelles conditions pour les équipements et la formation du personnel.
Dans tous les cas, on mesure aujourd’hui assez bien le chemin qui a été parcouru en matière de contrôle technique des véhicules roulants, que ce soit au niveau de l’exécution effective de l’opération ou de la sécurisation des documents délivrés. Ceci a été possible grâce à la mise en réseau des centres et liaison directe avec le CNHE, le contrôle de l’état du véhicule par équipement informatisé et la délivrance de documents de contrôle infalsifiables. En effet, le papier rose attestant de la visite technique et qui était l’objet de toutes sortes de trafics a été remplacé par un document conçu à partir d’un logiciel agréé par le CNEH. L’écriture manuelle est donc bannie des documents de visite technique. La maîtrise du processus de contrôle a commencé par le choix d’un fournisseur unique pour les imprimés des documents de visite technique. Ce fournisseur, nous explique Abdellilah Khalifi, directeur adjoint au CNEH, a été choisi à la fin de 2008 selon deux critères importants à savoir le prix et la qualité du papier lequel, à en croire M. Khalifi, est inimitable. En outre, le contrôle du CNEH sur l’activité des centres est désormais plus strict. Grâce à la connexion internet, les commandes de rames de papier de tous les centres doivent être validées par ce dernier qui connaît précisément le volume d’activité de chacun d’entre eux et donc ses besoins. C’est là, précise M. Khalifi, un procédé préventif pour décourager toute volonté de trafic, sans compter que les rames sont fournies pour une période de trois mois seulement. Le transfert des données qui se fait automatiquement à partir de tous les centres au CNEH permet à celui-ci d’établir des états de rapprochement pour ce qui est de l’utilisation des documents, sachant que les centres sont tenus de conserver les documents annulés pour une raison ou pour une autre.

Le parc automobile est estimé à 2 millions de véhicules
D’ici le début de l’année prochaine, le CNEH devrait être en mesure de disposer d’un schéma directeur de tous les centres de visites techniques, avec une évaluation du parc automobile et donc des besoins de chaque localité en CVT. A terme, c’est-à-dire à l’horizon 2012, avec l’affinement de ce procédé, on pourra connaître de façon beaucoup plus précise la composition (types de véhicules) et l’état du parc (moyenne d’âge). Ces indicateurs sont aujourd’hui impossibles à définir dans la mesure où aucun contrôle n’est exercé sur les cartes grises des véhicules réformés ou retirés. D’ailleurs, avec la généralisation des nouvelles cartes grises électroniques et l’adoption du projet de code de la route, un procédé plus rigoureux de retrait de véhicules gravement accidentés devrait être mis sur pied.
Actuellement, le parc national effectivement en circulation serait de plus de 2 millions de véhicules dont 90% de plus de 5 ans.

lundi 24 janvier 2011

Homologation: Un visa pour circuler

Ø  Un contrôle de conformité aux règlements et au respect de    
      l’environnement.
Ø  Les frais varient entre 1.000 et 75.000 DH selon le demandeur
     et la nature du véhicule.

Tout véhicule destiné à la circulation dans un pays doit répondre à certaines exigences. Parmi celle-ci, l’homologation. Au Maroc, cette formalité relève des attributions du Centre national des essais et d’homologation (CNEH).
«L’homologation est un préalable à la commercialisation des véhicules par la force de la loi», explique Abdelaziz Ezzaïm, DG du CNEH. Des concessionnaires ont eu récemment des démêlés avec cette administration. A l’origine, l’importation massive de véhicules non conformes a l’Euro 4. Une norme antipollution imposée aux constructeurs de véhicules, mais non disponible dans les véhicules en question: des voitures, des camions et des bus de différentes marques, dont certains de fabrication chinoise.
Selon les estimations avancées par des professionnels, plusieurs milliers de véhicules étaient bloqués et ne pouvaient être commercialisés à défaut du certificat d’homologation. Des sociétés ont même été obligées de licencier à cause des difficultés financières qui s’en sont suivies. Importateurs et CNEH se rejettent la balle. En quoi consiste donc l’homologation et quelle est la procédure? «La procédure d’homologation est la même partout dans le monde», précise Ezzaïm. Il s’agit d’une formalité relativement simple.
Mais tout d’abord, il faut distinguer entre deux procédures. Un particulier désirant importer une voiture pour son propre usage doit fournir au CNEH un dossier administratif et un dossier technique. Si le premier est basique, le second porte sur un ensemble de données techniques. Il s’agit d’une formalité destinée à prouver que le véhicule importé a subi tous les tests nécessaires tels que les tests de collision, de freinage, de peinture, d’ancrage des sièges, d’éclairage, d’impact environnemental… Le tout doit faire l’objet d’une attestation de conformité, délivrée par un laboratoire certifié à l’échelle internationale et accrédité par le CNEH. Pour obtenir rapidement son procès verbal d’homologation, l’usager doit fournir un dossier complet.
Dans le cas contraire, et pour activer la procédure, il arrive que le CNEH prenne l’initiative de faire ses propres recherches en accédant, via internet, aux fichiers des constructeurs. Ce qui retarde l’obtention du précieux visa du CNEH. De manière générale, les responsables du Centre d’homologation jugent les délais «raisonnables». Ainsi, pour les particuliers hors de Casablanca, dont le dossier est complet, la formalité d’homologation prend une journée tandis que pour un particulier de Casablanca, elle prend trois jours.
Pour le cas des importateurs, la procédure est la même. Conformément à la loi et au code de la route, ils doivent au préalable soumettre au centre un prototype du véhicule qu’ils souhaitent commercialiser. Si le véhicule répond aux conditions en vigueur, il se voit délivrer le procès verbal d’homologation par le CNEH. Ce n’est qu’à ce moment que le demandeur peut importer les véhicules en question et leur apposer la plaque d’immatriculation WW pour les commercialiser. L’homologation d’un véhicule n’est pas une formalité gratuite. Pour les importateurs, les frais sont de l’ordre de 50.000 DH pours les véhicules légers de 3,5 tonnes et de 75.000 DH pour les poids lourds de plus de 3,5 tonnes. Dans le cas des particuliers, ces charges sont respectivement de 1.000 et 2.500 DH. Par le passé, selon Karim Ghellab, ministre du Transport et de l’équipement, le CNEH était laxiste. A présent, la tutelle veut lui faire jouer pleinement son rôle d’administration chargée de contrôler tout le matériel roulant. Et c’est ce qui a pris de vitesse les importateurs qui avaient acquis à l’étranger des véhicules sans respecter la procédure en vigueur.


Moratoire


Le Groupement du poids lourd et de la carrosserie (GPLC) et le ministère du Transport et de l’Equipement viennent de signer un accord pour débloquer la situation des véhicules (voitures, camions et bus) qui n’ont pu obtenir le procès verbal d’homologation selon la procédure normale. Un document délivré par le Centre national des essais et d’homologation.
En cause, la non-conformité de ces véhicules à la norme antipollution européenne Euro 4. L’accord signé entre le GPLC et la tutelle court jusqu’à fin septembre.
A partir du 1er octobre prochain, date d’entrée en vigueur du nouveau code de la route, seuls les véhicules fabriqués localement ou ceux conformes à la norme Euro 4 seront homologués. Les professionnels s’estiment heureux car ce moratoire leur permettra de reprendre leurs activités après plusieurs mois de marasme économique.

Accréditation de l’INFTR par l’Académie créée par l’Union Internationale du Transport.

OFPPT
Office de la Formation Professionnelle
et de la Promotion du Travail

Communiqué de presse
Accréditation de l’INFTR  par l’Académie créée par l’Union Internationale du Transport.

Une délégation de l’Union Internationale des Transports Routiers (IRU), dirigée par son Secrétaire Général Monsieur Martin MARMY, a effectué le 19 janvier 2009 une visite à l’Institut National de Formation dans les Métiers du Transport Routier à Casablanca, établissement relevant de l’OFPPT.
Cette visite a pour objectif d’examiner les opportunités de coopération dans le domaine de la formation dédiée aux métiers du transport et l’accréditation de l’INFTR par l’Académie créée par l’IRU. 
Cette accréditation permettra de délivrer des diplômes répondant aux standards de l’Académie, leur apportant ainsi une reconnaissance internationale.
Messieurs Larbi BENCHEIKH, Directeur Général de l’OFPPT, et Abdelilah HIFDI, Président de la Fédération du Transport, se sont engagés à examiner les modalités de mise en œuvre d’un partenariat avec l’Académie de l’IRU pour l’obtention de cette accréditation.
Monsieur Martin MARMY s’est également enquit des équipements et du dispositif de formation de l’INFTR et a exprimé sa grande satisfaction quant à l’importance et la qualité de ce dispositif
A rappeler que l’OFPPT dispose actuellement de 3 Etablissements dédiés au secteur du Transport Routier (Casablanca, Tanger et Agadir), offrant la formation à plus de 1800 stagiaires.
Ces trois établissements seront ouverts, dès l’année 2010/2011, sur les métiers de la Logistique, en attendant la création des Etablissements dédiés, programmés dans le cadre du Plan de Développement à l’horizon 2015, à Casablanca, Tanger-med, Oujda, Fès et Marrakech.

mercredi 19 janvier 2011

Bien préparer son véhicule

Pour prendre la route en favorisant votre sécurité ou pour passer votre contrôle technique dans les meilleures conditions possibles et limiter au maximum les risques de contre-visite, nous vous suggérons quelques conseils simples :
HUILE :
Quand vous déplacez votre véhicule de son lieu de stationnement, vérifiez de temps en temps qu'il ne reste pas au sol une trace d'huile qui révélerait une éventuelle fuite dans le circuit de carburant ou le groupe moteur. Pensez à vérifier le niveau d'huile entre deux vidanges.
MOTEUR :
Entretenez régulièrement votre moteur selon les indications du constructeur pour éviter de l'encrasser: vidanges à intervalles réguliers , changement ou nettoyage des filtres et des injecteurs.
PARE-CHOC :
Si un accrochage a endommagé l'un de vos pare-chocs, changez-le rapidement car un pare-choc en mauvais état n'assure plus sa fonction d'amortissement des chocs légers. Vérifiez également la parfaite fixation des deux pare-chocs.

FEUX :
Vérifiez régulièrement tous les feux de votre véhicule (faites-vous aider par votre conjoint ou un voisin) et si nécessaire, changez les ampoules grillées, les fusibles défectueux ou les phares cassés.
FREINAGE :
Révisez régulièrement votre système de freinage. Faites vérifier l'état des mâchoires et des plaquettes de freins et faites les changer si nécessaire. En cas de changement de pièce, veillez à roder les freins avant le passage au contrôle technique sur une distance d'environ 300 km.

KLAXON :
Vérifiez son bon fonctionnement. AMORTISSEURS : Pensez à les changer régulièrement (environ tous les 80.000 km).
PNEUMATIQUES :
Vérifiez régulièrement et à froid leur pression (sans oublier la roue de secours !), et gonflez-les suivant les indications du constructeur ou du manufacturier de pneumatiques (voir étiquette sur la porte avant gauche). Contrôlez également régulièrement l'état de vos pneumatiques : leurs déformations, la présence d'entailles éventuelles et l'usure des reliefs (3 mm minimum restants).

POT D’ECHAPPEMENT :
Assurez-vous qu'il est en bon état et correctement fixé.

PLAQUES D’IMMATRICULATION :                                                                                   Vérifiez leur état, à l'avant comme à l'arrière: elles doivent être propres, lisibles et correctement fixées.
PARE-BRISE :
Maintenez le pare-brise et les autres vitrages de votre véhicule en parfait état de propreté et changez-les en cas de fêlure importante.

BALAIS D’ESSUIE GLACES :
Changez régulièrement vos balais d'essuie-glace. Remplissez votre réservoir de liquide lave-glace et vérifiez le bon fonctionnement de l'ensemble du dispositif.

LIQUIDE DE REFROIDISSEMENT :
Vérifiez périodiquement son niveau.

المؤتمر الثاني لنقابة الفاحصين التقنيين

من السيد الكاتب الوطني
إلى السادة أعضاء المجلس الوطني
إلى السادة أعضاء المكتب الوطني
إلى السادة الكتاب الجهويون
إلى السادة الفاحصين التقنين بالمغرب
إلى السادة رؤساء المراكز بالمغرب

الموضوع – المؤتمر الثاني لنقابة الفاحصين التقنيين
و بعد
بناءا على مقتضيات القانون الداخلي يتقدم الكاتب الوطني لنقابة الفاحصين التقنين بالمغرب بدعوتكم لحضور المؤتمر الوطني الثاني و الذي سوف ينعقد تحت شعار "الفاحص التقني – أي استمرارية في ضل الأفق المستقبلية للمهنة" و دلك يوم (الأحد)  27 فبراير2011 على الساعة 10 صباحا بمقر الاتحاد المغربي للشغل الكائن بشارع الجيش الملكي بالدار البيضاء
و نضرا لخصوصية الظرفية المهنية وأهمية اللقاء ندعوكم للحضور و مباشرة التعبئة على مستوى الجهات حتى يتسنى للنقابة الوطنية الاستمرار و الدفاع عن الصالح العام للقطاع.
جدول أعمال المؤتمر الثاني  للنقابة الوطنية للفاحصين التقنيين

- الساعة العاشرة – افتتاح المؤتمر
 - تلاوة التقريرين الأدبي و المالي
- مناقشة التقريرين و التصويت
-استقالة المجلس الوطني
- استقالة المكتب الوطني
- فتح لوائح الترشيح لانتخاب أعضاء المجلس الوطني
- فتح لوائح الترشيح لانتخاب أعضاء المكتب الوطني
- توصيات المؤتمر الوطني الثاني
- الثانية و النصف بعد الزوال – اختتام الأشغال

و تقلبوا فائق احتراماتي

الكاتب الوطني
السيد مكرم الزبير 

Les retraités marocains continueront d'importer des voitures de plus de 5 ans

Annoncée parmi les mesures du nouveau Code de la route, la fin de l’homologation pour les véhicules d’occasion importés ayant plus de 5 ans d’âge ne s’appliquera pas, a priori à tout le monde. On en sait un peu plus aujourd’hui sur les « dispositions » prévues pour les Marocains résidant à l’étranger (MRE), et qui n’avaient pas été précisées dans le texte. Selon le directeur du centre national d'essais et d'homologation, les retraités MRE pourront toujours importer leurs voitures d'occasion de plus de 5 ans. 


Contacté par nos soins, Abdelaziz Ezzaim, directeur du Centre national d’essais et d’homologation (CNEH), nous a déclarés que « la seule disposition prise concerne le retour des retraités (MRE, ndlr) ». Ainsi, d'après lui, les retraités marocains résidant à l'étranger pourront se faire homologuer une voiture même si elle a plus de 5 ans — ils seront les seuls pour le moment. Autre précision apportée par M. Ezzaim : la règlementation entrera en vigueur le premier janvier 2011.
Pour rappel, conformément aux dispositions de l’article 96 du décret 2-10-421 portant sur l’application du Code de la route, publié dans le bulletin officiel no 5878 bis du 30 septembre 2010 « sont soumis à l'homologation à titre isolé […] les véhicules usagés importés de moins de cinq (5) ans d'âge » (page 49 du PDF). Ceci étant, les véhicules d'occasion fabriqués avant le 1er janvier 2006 ne pourront plus être introduits au Maroc.
Si l’un des objectifs de cette mesure était de protéger le parc automobile marocain des épaves importées, elle devait surtout affecter des nombreux retraités MRE, qui bénéficiaient d’un abattement de 85 % des droits de douane sur l’immatriculation leurs véhicules importés. Comme nous vous l’annoncions précédemment, 26 662 retraités avaient ainsi pu profiter de cet avantage pour ramener leurs voitures depuis 2009.
Avec l'annonce de la restriction de l'homologation au Maroc, la crainte était donc survenue que cet avantage important pour les retraités pourrait se voir aboli. Une limite sur l’âge des véhicules importés valable pour tous aurait touché un grand nombre de retraités. Ils n'auraient pas pu faire immatriculer de voitures au Maroc si elles dataient d'avant 2006.
Mais l’article 96 du décret 2-10-421 précisait aussi que « toutefois, des dispositions concernant les Marocains résidant à l'étranger peuvent êtres prises ». Rien de concret n’avait cependant été dit au sujet de ces dispositions, jusqu'à présent. Aujourd'hui, le doute semble être levé.

Qu’est ce que la visite volontaire ?

Tout propriétaire de véhicule est libre d’effectuer une visite technique volontaire pour s’assurer de l’état de son véhicule. La visite volontaire se passe d’une manière identique à celle réglementaire et fait l’objet d’un procès verbal au même titre que la réglementaire.
La visite technique volontaire peut constituer une visite réglementaire et remplacera de ce fait la dernière visite réglementaire effectué par le propriétaire du véhicule quand celle-ci est réalisée avant l’échéance obligatoire de réalisation de la visite réglementaire ou la visite complémentaire.

Qu’est ce que la visite complémentaire ?

A l’issue de la visite technique réglementaire du véhicule, certains points de contrôle peuvent être signalés comme devant faire l’objet d’une obligation de réparation.
La visite complémentaire doit avoir lieu dans un délai maximal d’un mois après la visite initiale. Passé ce délai, une nouvelle visite initiale est obligatoire. Lors d’une visite complémentaire, ne sont contrôlés que les points ou groupe de points qui ont justifié ladite visite complémentaire.
Pour effectuer la visite complémentaire, le procès-verbal de la visite initiale doit obligatoirement être présenté à l’agent visiteur.

INSTITUT NATIONAL DE FORMATION EN METIERS DU TRANSPORT ROUTIER

SIDI MAAROUF , DERIERE LA COMMUNE DE AIN CHOCK CASABLANCA

TEL +212 522 581346 , +212 522 581347
FAX +212 522 581349

fonctionnement de moteur

Les 77 points de contrôle

0- IDENTIFICATION DU VEHICULE
Numéro d’immatriculation
     Plaque d’immatriculation
Numéro du châssis
     Plaque constructeur
     Frappe à froid sur le châssis
Véhicule
     Présentation du véhicule
Divers
     Energie moteur
     Nombre de places assises
     Plaque de tare
     Plaques signalétiques de la catégorie
1- FREINAGE
Mesures
     Frein de service
     Frein de stationnement
      Ralentisseur
Circuit hydraulique
     Réservoir de liquide de frein
     Maître cylindre
     Canalisation ou flexiblede frein
     Correcteur, répartiteur de freinage
Eléments récepteurs
     Eléments récepteurs(disque, tambour, plaquette de frein)
Eléments de commandes
     Pédale de frein
     Commande de frein de stationnement
Bloc du système anti-blocage et/ou de régulation
     Equipements
Eléments d’information
     Témoin de niveau de liquide de frein ou de chute de pression
2- DIRECTION
Mesures
     Angles, ripage AV
Organes de direction
     Volant de direction
     Crémaillère, Boitier, Biellette, Timonerie, Rotule, Articulation
Système d’assistance de direction
     Système d’assistance de direction
3- VISIBILITE
Vitrages
     Pare-brise
     Autre vitrage
Rétroviseurs
     Rétroviseur
Accessoires
     Essuie-glace AV
4- ECLAIRAGE, SIGNALISATION
Mesures
     Feu de croisement
Eclairage
     Feu de croisement
     Feu de route
Signalisation
     Feu de position
     Feu indicateur de direction (y compris répétiteurs)
     Signal de détresse
     Feu stop
     Feu de plaque AR

 Feu de recul
     Feu de gabarit
     Catadioptre AR ou latéral
     Triangle de pré-signalisation (en l’absence de feux de détresse)
Eléments de commande, d’information
     Témoin de feux de route
     Témoin de signal de détresse
     Témoin de feu de brouillard AR
     Commande d’éclairage et de signalisation
     Témoin indicateur de direction
5- LIAISONS AU SOL
Mesures
     Suspension
Trains, essieux (y compris ancrages)
     Demi-train (y compris ancrages)
     Roulement de roue
Roues (jante et pneumatique)
     Roue (jante et pneumatique)
6- STRUCTURE, CARROSSERIE Infrastructure, soubassement
     Longeron, brancard, traverse, plancher, berceau, passage de roue, pare boue, bas de caisse.
Superstructure, carrosserie
     Portes latérales, montants
     Porte AR, hayon
     Capot
     Aile
     Pare-chocs, bouclier
     Caisse
     Superstructure, carrosserie (sauf ailes et ouvrants)
7- EQUIPEMENTS
Habitacle
     Siege
     Ceinture de sécurité
Autres équipements
     Avertisseur sonore
     Batterie
     Support roue de secours
     Dispositif d'attelage
     Boites premiers secours
     Extincteurs
8- PROPULSION ET EQUIPEMENTS DE CONTROLE
Groupe motopropulseur
     Moteur
     Canalisation de carburant
     Réservoir de carburant
     Carburateur, système d'injection
     Pompe d'alimentation en carburant
     Transmission (y compris accouplement)
Limiteur de vitesse et chrono tachygraphe (pour les véhicules soumis)
     Limiteur de vitesse
     Chrono tachygraphe
Echappement
     Canalisation d'échappement
      d'échappement
9- POLLUTION
Mesures
      Teneur en co des gaz d'échappement
      Opacité des fumées d'échappement



ﻣﺎ ﺍﻟﺤﺐ ﺇﻻ‌ ﻟﻮﻃﻨﻲ ﻭ ﻣﺎ ﺍﻟﻮﻓﺎﺀ ﺇﻻ‌ ﻟﻤﻠﻜﻲ ﻭ ﻣﺎ ﺍﻟﺮﻣﺎﻝ ﺍﻟﺬﻫﺒﻴﺔ ﺇﻻ‌ ﻓﻲ ﺍﻟﺼﺤﺮﺍﺀ ﺍﻟﻤﻐﺮﺑﻴﺔ ﻭﻣﺎ ﺷﻌﺎﺭﻧﺎ ﺍﻟﺨﺎﻟﺪ ﻏﺼﺒﺎ ﻋﻦ ﻛﻞ ﺣﺎﻗﺪ ﺍﻟﻠﻪ ﺍﻟﻮﻃﻦ ﺍﻟﻤﻠﻚ